Confort…
L’insert talonnier est composé d’un matériau amortissant qui dévie et atténue l’onde de choc sur un plan transversal.
L’attaque du pas dite phase taligrade débute lorsque le talon impacte le sol. Cela génère une onde de choc qui se propage verticalement dans l’ensemble du membre inférieur dans le bassin, le dos et jusqu’au sommet du crâne.
Cet impact répétitif et cyclique peut être la source d’apparition de douleurs et entretenir des pathologies chroniques, notamment rhumatismales : pied, genou, dos.
Confort et contrôle…
L’élément de soutien interne guide le pied d’arrière en avant dans sa phase de déroulement.
Le déroulé du pas dit phase plantigrade s’effectue par le déplacement progressif du poids du talon vers la voûte plantaire pour se terminer à l’avant-pied.
La voûte plantaire, sous l’effet du poids du corps et de la vitesse de déplacement, subit un affaissement interne appelé pronation lors du déroulé du pas. Cela créé un effet de traction des muscles et membranes de la face plantaire du pied.
Cette attitude rotationnelle interne, parfois accentuée, peut devenir la source d’une fatigabilité à la marche. Elle peut entraîner des troubles ostéo-articulaires et musculo-tendineux. Une rotation interne exagérée génère une mauvaise attitude posturale du bassin et du dos.
Confort, contrôle et guidance.
ARLEQiNE accompagne la phase de propulsion : elle diminue l’effort de l’articulation et les douleurs lors de la marche.
Ce troisième et dernier temps d’appui, dit phase digitigrade, est l’instant où le pied se propulse et quitte le sol.
Il débute à l’avant-pied par les forces exercées par le 1er rayon (os naviculaire, os du 1er cunéiforme, os du 1er métatarsien, 1er orteil) et se termine par l’appui des orteils. Il assure à lui seul 80% de l’effet de propulsion.
Cette particularité mécanique et anatomique de la bipédie génère de nombreuses contraintes sur la 1ère articulation métatarso-phalangienne.
Un dénivelé mesuré
La semelle ARLEQiNE possède un dénivelé de 1,5 cm conçu pour limiter les tensions au talon.
Ce procédé utilisé dans le milieu de la chaussure de running sous le nom de « drop », permet de limiter les tractions du tendon d’Achille et de détendre la chaîne musculaire postérieure (mollet et ischio jambiers).
Avec ARLEQiNE, le dénivelé est limité pour ne pas déplacer le centre de gravité trop vers l’avant et surtout ne pas provoquer une réadaptation posturale source de troubles au bassin ou au dos.